Chicago ... Troisième plus grande ville des Etats-Unis, située dans l'état de l'Illinois. Elle se trouve sur la rive sud-ouest du lac Michigan, un des Grands Lacs de l'Amérique du Nord. Chicago est le deuxième centre industriel des États-Unis, mais la ville est aussi l'une des plus importantes places financières du monde. Grâce à sa situation exceptionnelle, la ville constitue un centre de communication majeur de voies terrestres mais aussi par l'aéroport international O'Hare. Elle a acquit une grande renommée culturelle grâce à son architecture de gratte-ciel et attire des millions de visiteurs chaque année. Entre 1910 et 1933, la ville fut secouée par de nombreux gangs qui se partageaient le Nord et le Sud de la ville. Pendant la Prohibition, Chicago devint la capitale du crime organisé. Les gangsters de la ville profitaient de sa situation proche du Canada, d’où parvenaient les cargaisons d’alcool de contrebande. Surtout, ils trouvaient des complicités, des juges, des politiciens municipaux et des policiers corrompus. Au fil des années, l'activité criminelle de la ville semble s'être énormément calmée, au point que la ville n'a plus été surnommé "La capitale du crime". Et pourtant ... Depuis 2006, toutes les petites magouilles se passaient sans que les médias ne l'apprenne. Mais depuis quelques petits mois, les règlements de compte sont de plus en plus nombreux. Sans compter la drogue qui semble de plus en plus présente un peu de partout dans la ville. Tout est en train de se dégénérer et de devenir comme lors de la prohibition. Mais personne ne fait rien pour arrêter cet engrenage. La police et le gouvernement seraient-ils de mèche avec les trafiquants, et autres ? En tout cas, ils se gardent bien d'ébruiter cela en dehors de la ville. Affaire à suivre ?

Résumé (rpg sur la série Doctor Who.)

« Bonsoir à tous. » Lança ce mystérieux vagabond à la barbe emmêlée et aux vêtements débraillés. Il avait fait réunir tout le gratin politique du monde, ainsi que de nombreuses organisations internationales qui n'avaient qu'un mot en bouche, depuis leur création. Ce mot était "Docteur". Il se tenait face à tout ceux-là, dans un vieux costume troué d'impacts de lasers et d'autres déchirures toutes différentes les unes des autres, coiffé d'un fez et portant un nœud papillon rouge. Il détaillait et analysait toutes les personnes qui lui faisaient face, dans un immense amphithéâtre, tous portaient des costumes trop serrés, on lisait la méfiance sur certains visages, la peur sur d'autres ou encore l'ennui sur quelques jeunes qui s'endormaient sur place. Il s'approcha de la table qui lui était destinée, tout au centre, et frappa quatre coups sur le micro qui attendait là, planté dans le plastique blanchâtre de la table. Il frappa une seconde fois les quatre coups, un sourire d'enfant s'était implanté sur son visage, le son que produisait le micro l'amusait. Seul le regard d'un vieux militaire le tira de son jeu, le vagabond effaça son sourire dans un pincement de lèvres et fronça les sourcils tout en regardant l'assemblée. [...]

Pendant plusieurs heures, le débat eut lieu, tandis que le dénommé Rory était finalement arrivé à terme au milieu de la conférence. Il s'était présenté vêtu d'un costume de soldat romain. La jeune femme, qui était aussi son épouse, soupira en le voyant arriver ainsi. Tandis que le vagabond s'exclama d'un rire que ce costume était « génial ! » Par la suite, il fut avéré que ce-même vagabond n'était autre que le Docteur lui-même, ce Seigneur du Temps venu de l'espace. Celui-ci informa que quelque chose de plus effrayant que tout ce qu'ils avaient affronté s'apprêtait à arriver. Ce qu'il appela solennellement "Le Silence" allait tomber. Il n'en dit pas plus. Et fit comprendre à tous qu'il était impératif de suivre les directives qui seraient indiquées par la jeune femme et son mari. Aussitôt qu'il eut lancée cette phrase, il disparu dans sa vieille cabine téléphonique de police en lançant un clin d’œil de défi à ses deux compagnons. [...]

« J’ai été accepté à Trinity ! » « Qui n’est pas accepté à Trinity en même temps ? » « Euh, bah je sais pas.. Ton frère peut-être ? » « Bon ok, tu marques un point. »

Nous n'avons pas tous la chance de pouvoir entrer dans de grandes universités, une fois sorti du lycée. Il ne faut pas se voiler la face. Ceux qui font tout et n'importe quoi de leur adolescence et qui n'ont pas de dons particuliers, n'iront jamais à Harvard, Yale, Standford ou encore Berkeley. Ils ne voyageront pas pour intégrer les meilleures universités du monde. Non. Ces gens-là se contenteront de rester dans leur état, parfois même dans leur ville natale. Ils rejoindront des universités bien moins connues, moins cotées, quand ils y arrivent bien sûr (oui parce qu'on ne peut pas passer sa scolarité à s'amuser sans en subir les conséquences par la suite). Mais ne pensez pas que ces personnes-là sont moins heureuses que celles qui étudient parmi les plus grands. Souvent c'est même l'inverse d'ailleurs. Se faire refuser dans une grande université apporte toujours une certaine frustration, voir ses rêves réduits à néant ne donne jamais le sourire. Mais on s'y fait. Certains ne prennent même pas la peine d'y postuler, car ils savent très bien qu'ils n'ont aucune chance d'être pris.

A Miami, on peut trouver quasiment une dizaine d'universités. Trinity est l'une d'entre elles, mais pas la meilleure. Loin de là. Classée parmi les dernières universités du pays, elle est loin de faire la fierté de la ville et même de l'Etat. Il suffit de se rendre sur le campus pour comprendre. Des professeurs complètement désintéressés par leur travail (parfois on se demande même s'ils ont tous leurs diplômes.. à vérifier), une administration qui laisse sérieusement à désirer, des résultats décevants et par-dessous tout, des étudiants qui trouveront certainement plus leur place au jardin d'enfant qu'en études supérieures. Vous l'aurez compris, Trinity est souvent le dernier choix, la roue de secours. Il suffit de demander aux étudiants sur le campus. La plupart vous répondront la même chose. « Moi je suis là parce que je n'ai pas eu le choix, je voulais me la jouer cool cette année, mais mes parents m'ont forcé à aller dans une université » ou « j'ai été refusé dans l'université de mon choix, alors je me suis rabattue sur celle-ci » ou encore « moi je suis là parce que je veux rien foutre ». Et oui, à Trinity, c'est plus l'amusement et la flemmardise qui prédomine, au plus grand plaisir des étudiants et au désespoir des parents.

Mais bien sûr, il ne faut pas laisser de côté les habitants de Miami qui méprisent de plus en plus cette université, au point d'avoir commencé une pétition pour la faire fermer. Après tout, pourquoi dépenser des millions de dollars dans une université qui ne donne aucun résultat ? Autant mettre cet argent dans les meilleures universités de la ville. Entre autres, on trouve ces gens-là, mais aussi d'autres personnes qui, au lieu de perdre leur temps à faire des études pour rien, ont préféré entrer directement dans la vie active.

Miami, une ville pleine de diversité. Une ville qui n'attend que vous.