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 « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.

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MessageSujet: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeJeu 24 Nov 2011 - 23:13

Sade Joyce

ADULTE PROFESSEUR ÉLÈVE CHASSEUR POUVOIRS MÉCONNUS


ID Card

NOMPRÉNOM
NAISSANCESITUATION
RÉSIDENCENATIONALITÉ(S)
SANGPARTICULARITÉS


Family Record Book


ARBORESCENCE GÉNÉALOGIQUE
  • ANCETRES :

JOHN VOLPE .
Gouverneur du Massachusetts [1961-1963], ancêtre des Joyce (issus de la liaison, à ce jour encore tenue secrète, du gouverneur avec Tatiana T. Voratovak). Il est le père de la purgation des sorcières de Salem.

TATIANA TCHERKASSOV VORATOVAK.
Défunte mère de la génitrice des frères Joyce, elle est l’amante du gouverneur, sorcière mariée à un chasseur, Nikita Voratovak. Elle séduira, dans un premier temps, John Volpe pour mieux assiéger la ville puis finira par tomber amoureuse de ce dernier : naitra de cette union Julia Volpe Joyce, mère de Zec et Sade. Elle fut assassinée par son époux, véritable aliéné n’acceptant pas l’amour qu’elle finira par porter à Volpe. Elle aura un fils avec Nikita 5 ans avant la naissance de Julia.

NIKITA VORATOVAK
Chasseur vorace, il est le géniteur de Cioran Voratovak, l’oncle des frères jumeaux.

CIORAN VORATOVAK
Oncle éloigné des frères Joyce, fils de Tatiana et de son mari Nikita. Principal objet de prédilection de ce dernier dans sa quête de vengeance.

  • PÈRE :

    NIKOLAS JOYCE
    Assassiné par Cioran, demi-frère de son épouse, Julia. Sa dépouille n’a jamais été retrouvée.

  • MÈRE :

    JULIA VOLPE JOYCE
    Assassinée par son demi-frère, Cioran. Sa dépouille n’a jamais été retrouvée.

  • FRÈRE :


ÉZÉCHIEL JOYCE

« la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  001803we « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  001823tk

Frère jumeau, considéré comme étant le cadet. Sorcier, né le 7 Décembre 1991, à Salem. Actuellement étudiant. Je vous invite à lire sa fiche ici.


School Report

  • CROIS-TU EN LA SORCELLERIE ? Je crois en la déraison, cette sorcellerie insane a du bon sens.
  • AS-TU DÉJÀ ÉTÉ TÉMOIN, VICTIME OU BÉNÉFICIAIRE D'UNE MANIFESTATION DE MAGIE ? J’ai été témoin des afflictions que j'atterre à mes pâtures surnaturelles, je me porte victime de ma démence, et je jouis d’un tel bénéfice.
  • CHANCE HARBOR ET TOI : En deux indomptables conquistadors, mon frère et moi délayons un nombre démesuré de mythes à notre égard dont un seul folklore prédomine : celui qui s’inspire de nos œuvres pernicieuses. La légende Joyce s’inscrit dans l’empire de Salem et son histoire. En deux parfaits sociopathes, nous représentons la principale menace à conjurer pour tout sorcier confondu, avec une préemption pour les femelles.
  • ACTIVITÉS EXTRA-SCOLAIRE : Non inscrit sur les listes universitaires. Je n'ai jamais étudié à l'école. Je me passionne pour les dissections de l’anatomie de mes proies, le viol de ces corps ecchymosés, mon sadisme vorace et ma perversité dévorante.


Dear Diary


ANCIEN TESTAMENT
Ist PART
LIVRE PROPHETIQUE I –JOHN VOLPE & TATIANA TCHERKASSOV VORATOVAK

« la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Ln2 « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  94267167


    « Je ne suis pas certains que ce soit une bonne idée. Fais le pour moi, alors, trancha-t-elle d’une voix prédisposée à séduire tout mâle confondu. Il sourit, inévitablement, preuve de sa défaite limpide. Être un homme de pouvoir ne me donne pas tous les droits, Tatiana, tenta-t-il sans grande conviction, je sais ce que tu vas me dire, mais ce paradoxe est irréfutable, ajouta-t-il dans un souffle presque insaisissable, portant une main hésitante au visage éthéré de son amante. Le paradoxe est une opinion qui se nourrit de ses talents aux dépens de la vraisemblance, trancha-t-elle sereinement, se dérobant de l’inconfort palpable du gouverneur. Ne nous disputons pas ce soir, Tatiana. Où sont les cigarettes John ? Lui répondit elle pour seule preuve d’inspiration à des éloquences vaines dont elle jugeait dramatiquement vibrantes et pathétiques. S’il te plaît, regarde moi. Tu avais promis, dit-elle dans une froideur excessive, promis qu’on serait à nouveau traitées avec respect ; que tout changerait, que nous serions libres. C’est pour cette liberté que tu m’as séduit ? tenta-t-il naïvement. Je ne sais pas, hésita-t-elle dans une sincérité inébranlable. »


A quoi bon se laisser bercer d’illusions incertaines ? La question ne réside pas dans ce que l’on espérerait obtenir des motivations d’une altérité aimée, mais dans le résultat d’une telle hallucination inavouable. Or, John Volpe était, en ce mois de Septembre 1962, le gouverneur du Massachussetts. Son empire tissait ses prescriptions morbides et pragmatiques, ignorant en ce temps, la rencontre inéluctable avec l’être satyre, source indubitable du précieux aboutissement des séries de procès cadavériques dévorant Salem. Leur complicité ingénue se heurta très vite au seul plaisir défendu d’une union conjugale délictueuse : le vice charnel.
Mais ne dit-on pas qu’à l’aboutissement de ses désirs naissent les alléchantes jouissances d’un danger violé ? N’est-il pas alors judicieux de douter des limites des sentiments romanesques sublimés par l’affect pisseux qu’est l’amour ?

Volpe était aveuglé par l’être sublimé, vous l’aurez compris. Tatiana était l’objet cathartique de l’intimidation politique l’acculant vers d’imperturbables exigences, sans cesse réitérées et, bien évidemment, inatteignables. Elle était une stratège véhiculée par une délectation lascive. Ses motivations s’irradiaient à mesure que fluctuait sa visée première. La finalité d’une telle intoxication spirituelle se voulait interindividuelle : elle était l’irrésistible vénusté d’une irrévérence légitime.
Dans cette cadence arythmique, il n’y avait qu’un valseur ineffable qui ne se délectait que d’une romance bilatérale hallucinée, tandis que sa partenaire était la seule à jouir de son timbre âpre et cuisant. Cependant tout est insipide dans nos amoncellement de rêves : toutes les choses qui la compose en sont que plus inconsistants. Elles fomentent entre elles, et, lorsqu’elles atteignent leur registre le plus déchainé et vorace, elles enveniment nos croyances et nous détourne, dilapidé, de toute existence factuelle. C’est ainsi que les choses se confondirent, berçant Volpe et tout un peuple d’une catilinaire effrénée qui marquerait définitivement ce semblant de loyauté, hérité d’un amour interdit, à une communauté assujettie et lymphatique : « Il apparaît préférable que dix sorcières suspectées puissent échapper à la justice, plutôt qu’une personne innocente soit condamnée ».
Cependant, qu’advient-il du dessein ébranlé lorsque sa proie albescente et puérile se travestie en un fomenteur de vestige génésique ? C’est ainsi qu’une descendance interdite s’atrophia d’un clivage systémique, de deux lignées émaciées par la présence irréfutable de génitures issues de chacun d’elles : Julia Volpe et Cioran Voratovak, quelques années à peine les séparait. Ils étaient les enfants symptômes en ce temps de rédemption. Ils portaient le dysfonctionnement familial déprécié de l’adversaire, dont ils étaient les prodromes.
La folie est un artifice évasif, un subterfuge sans rivage sur lequel se repentir. Elle est une défaite acceptable, un échec amoindri. John pénétrait ce berceau unilatéral, progressivement, délaissant son plèbe au détriment d’une désolation lénitive. Il se laissait oublier en se dépassant lui-même. Julia Volpe grandit aux côtés d’une dyade parentale effacée, nourrit d’une interaction de substituts héritiers des buchers de Salem. Elle était sorcière, elle aussi, et son éducation ne préexistait que pour cette unique théogonie. Elle fut conditionnée à proférer une mortification aversive pour les chasseurs et n’aspirer aux siens que la plénitude de son existence.


Julia Volpe enterra ce père subreptice le 6 Février 1973, aux côtés de silhouettes spécieuses bercées de larmes insidieuses perlant sur leurs visages fuligineux. Sa génitrice avait été remplacée par ce frère partiellement Tcherkassov mais tendant du côté de l’ennemi. En l’instant de secondes éternelles, elle le confondit avec l’ensemble des simulacres du cimetière : il la fixait, sans jamais cillé, le teint uniformément cadavérique et naturellement imperturbable. Lorsqu’elle accueillait les lamentations fallacieuses des présentes personnes, elle n’en retint que le timbre mielleux et insane de Cioran. Chacun de ses mots s’inscrivaient en elle : une mémoire somatisée par d’inquiétantes convulsions soumises à la voix de ce demi-frère, intaillée psychiquement par le poids des fulminations prospectives :
    « Tu n’es que le résultat d’une union souillée et je serai celui qui dévorera l’objet maculé de cette œuvre de chair. Fais honneur aux tiens, ma sœur, mais s’il te plaît, promets moi d’hurler mon nom et me supplier d’épargner ta survie dans le supplice que je t’infligerais, commença-t-il dans une accalmie perfide. Oh, j’oubliais : mes plus sincères condoléances, ajouta-t-il dans un sourire crevant l’impérieuse atmosphère austère. »


Julia était âgée de 11 ans, Cioran en avait déjà 16 et tous deux n’avaient pour seul motivation commune une enfance destituée au profit d’une émulation qu’ils avaient fait leur, et qui, paradoxalement, ne les concernaient en rien. Ils étaient, sans le savoir, la semence de cet antagonisme interfamilial, consumés par une solitude jumelle.


LIVRE PROPHETIQUE II –NIKITA VORATOVAK & TATIANA TCHERKASSOV VORATOVAK

« la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Gc7 « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Gc16


    « Où est-ce que tu vas? John se fait enterrer aujourd’hui. Laisse moi le voir une dernière fois. Ma leçon ne t’as pas suffit, on dirait. Arrêtes ça, répondit-elle en ne laissant percevoir ne serait-ce qu’une once des spasmes manifestes qui l’envahissaient à mesure qu’il ressassait l’aversion skinnérienne. Cioran ? Il n’est pas en mesure de sortir de sa chambre. Qu’est-ce que tu lui as fait ? chuchota-t-elle tout en se laissant submerger par un espace s’atrophiant sauvagement. Ferme la tu veux? Qu’est-ce que tu lui as fait Nikita ? Articula-t-elle distinctement pour que chacun de ses mots lui soit accessibles dans une menace instinctivement inconsidérée »


Il se leva brutalement, perdu dans une incertaine stabilité spatiale. Elle recula, à mesure qu’il tentait de s’approcher d’elle. Le silence dansait face à cette excentrique harmonie. Elle dominait, souveraine, confrontant nos deux protagonistes à une réalité qui les dépassaient et les divisaient profondément. Elle l’avait aimé, quand lui l’adulait déjà de cette attirance nauséeuse. Aujourd’hui, il l’encensait à mesure qu’elle laissait sa fascinante admiration s’exiler. Il lui arrivait pourtant de se noyer dans l’abîme enivrant des mémoires subsistants : « Il était jeune et beau », c’était aussi frugal que cette précision pauvre et biaisée. En effet, Nikita était figé dans un phénotype juvénile, on le confondait souvent à son propre fils ; leur fils, né d’une union légitime et éduqué dans une décence déviante. « Nikita est fou, John. », dément, submergé par le désordre imperturbable d’une croyance stoïque. Il était fou, oui, accommodé aux vestiges indéfectibles de son amour abusif. A qui la faute ?


Tatiana hésita quelques secondes, laissant son regard trahir ses intentions. Nikita se jeta sur elle à l’instant même où elle tentait de rejoindre la chambre de Cioran. Le cri instinctif de la jeune femme obligea l’aliéné à étouffer l’élan débridé de son épouse. Il attendit ensuite qu’elle gagne en sérénité si elle voulait qu’il la libère quelque peu de cette brutale étreinte.

    « Pitié laisse moi voir Cioran. Je veux m’assurer qu’il aille bien, l’implora-t-elle dans un souffle résigné. CIORAN ! hurla-t-il alors sauvagement, esquissant un sourire satisfait face à la peur soudaine de sa femme qui désormais se laissait abreuver par des tremblements incessants. »


Il la regardait guetter la venue de leur fils, dans un sourire inhumain. Elle en aimait un autre semble-t-il. Tout ce qu’il avait voulu au départ n’avait été que le façonnement d’une dominante stratégie de pouvoir des traqueurs face aux sorcières de Salem. John Volpe n’aurait du être qu’une voie insipide, mais contre toute attente, il avait finit par lui faire un enfant. Une jeune fille prénommée Julia Volpe, fille d’une union égoïstement gardée intime. Dès lors, Cioran avait été conditionné, à l’image d’un paradigme imaginé par son géniteur, négligé dans monde fantasmatique qui n’appartenait qu’à son père, lui éradiquant les six premières années de sa vie, bordées d’une insouciance que plus jamais il ne connaitra. Lorsque Tatiana laissa échapper un cri qu’elle étouffait déjà, Nikita, lui, se laissa submerger par son chef d’œuvre qu’il admirait sans retenue : Cioran déambulait dans la pièce voisine, se rapprochant lentement, être factice automate progressant avec peine dans cette marche mortuaire.

    « Aller, raconte à ta chère mère ce qu’on a décidé de faire toi et moi. Qu’est-ce que tu lui as fait ? Regarde le ! hurla-t-elle indifférente au danger qu’elle prenait en défiant l’éducation d’un fils exclusif. REGARDE LE ! »


Tatiana n’eut pour seule objection le rire effréné de Nikita, infatigable. Elle se retrouvait seule désormais, à une distance incalculable des coups qu’elle avait appris à recevoir. Seule dans cette boucherie face au meurtre sans cadavres de ceux qu’elle avait aimé.

LIVRE PROPHETIQUE III –CIORAN VORATOVAK & NIKITA VORATOVAK


    « Arrêtes ça papa, s’il te plait, arrêtes, répétait-il continuellement, balançant son corps d’avant en arrière. Répète le encore une fois. Papa, on a fait ça toute la nu–. Un nième coup frappé violemment à hauteur de ses tibiaux l’obligea, une fois encore, à se taire. Relève toi et répète ce que je t’ai appris, ajouta Nikita sans une once de scrupule. Julia…, commença le jeune homme, le corps nu, recouvert d’un sang discontinue, sombre et vif à la fois. Il reprit : … Je dois tuer Julia. Il renifla. Bien, et pourquoi ça ? Elle… elle est responsable de la mort de maman. Le père tapota alors la tête de son fils. Ce dernier esquiva son geste, comme s’il venait de craindre un nouveau coup. Papa ?, tenta-t-il timidement, Je comprends pas… C’est toi qui a tué maman. Le coup porté fut plus violent cette fois, à tel point qu’on pu percevoir le brisement osseux d’un de ses avant-bras –peut-être s’agissait-il des deux. Dès lors que ta mère a mis au monde cette gosse, elle n’a cessé d’exister pour nous. Tu sais ce qu’il te reste à faire, maintenant. Mais n’oublie pas une chose : laisse la s’entourer d’une famille qu’elle aimera et chérira. Du reste, fais moi honneur, fils. »


NOUVEAU TESTAMENT
IInd PART

CHAPITRE I – EVANGILE CANONIQUE SELON C. VORATOVAK

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    « Sade, c’était quoi ce bruit ?, chuchota le jeune garçon qui déjà se blotissait spontanément sous l’épaisse veste en laine grisâtre de son aîné. Approche. Ne fais plus de bruit. Répondis-je faiblement, ma curiosité trahissant les affres anxieuses de ma voix nébuleuse. J’ai peur, frérot. Ca va aller, j’te l’promets. »


Nous étions des jumeaux, deux prodiges perpétuellement avides de connaissances effrayantes et éternellement insatisfaits des résultats effrénés. Notre génie insatiable s’organisait déjà en une semence féconde, abhorrant un patrimoine obscène et secret. Nous avions conscience, à cet âge, de nos croyances primaires. Nous étions cristallisés dans cette vie instinctuelle sans règles de bienséance. Le plaisir prônait, la soif intrépide était seule maitresse de notre solitude. Nous avions été expulsés dans ce monde réfractaire où nos vies furent crucifiées et abandonnées sans autre alternative que survivre seuls, sans résurrection possible. A nous deux nous formions notre propre meute dont j’étais l’aspirant. Nous étions jeunes à cette époque. Bien assez pour encore percevoir certains affects triviaux. La peur en faisait partie. C’est d’ailleurs cet événement que je relate qui nous arracha tout semblant de sentiment.

Du haut de nos douze ans, l’appel criant de notre génitrice nous poussa à nous terrer sous l’immense autel de marbre qui surplombant l’immense église. Nous passâmes à travers une mince grille souillée qui n’avait jamais été rattachée à l’édifice. De là, nous avions une panorama éloquent : il nous divulguait notre avenir, nous transitant vers une incertaine mais funeste postérité. Trois hommes apparurent brusquement dans la pièce ; nous retînmes notre souffle, nous imprégnant de leurs traits caustiques, tandis que je serrais le corps frêle de mon frère contre le mien. Nos spasmes se rencontrèrent, nos souffles se heurtaient tandis que notre peur se vidait, purgée par nos êtres infâmes, comme si elle cherchait victime plus limpide. Nos géniteurs apparurent eux-aussi. Un individu se saisit sauvagement de la chevelure brune de notre mère et la traina alors, sourd à ses gémissements, jusqu’à notre père, vociférant des injures qu’un second inconnu se chargeait de les lui ragréer. Le spectacle amer d’un commencement acerbe fut marqué par la voix acide de celui qui détenait entre ses griffes le corps de notre génitrice :

    « Où sont tes enfants Julia, hein ? Petits, petits, où vous cachez-vous ? Ricana-il amusé et bercé par une satisfaction vaine : nous restâmes insensibles à ce que subissait nos géniteurs. La forme de leur gestuelle était presque jouissive, à vrai dire. Ce qui nous effrayait c’était la captivante similitude entre eux et nous –Zec et moi-même ; entre lui et nous. Je ne sais pas où ils sont Cioran, ils étaient avec nous tout l’heure… Je– Tu ? »


Il comprit alors qu’elle était sincère : je percutais moi aussi pourquoi tous se turent à leur tour. Notre génitrice ne savait pas, en effet, où nous avions disparu. Vous percutez ? Elle était prête à nous livrer au détriment de son fief qu’elle gouvernait aux côtés de notre père. Elle était une sorcière fidèle aux siens, à l’image de Tatiana, elle avait su séduire notre géniteur, humain quant à lui. Il la suivait dans ses œuvres clandestines, dans son absence à notre égard. Il cautionnait notre négligence mirifique. Un semblant de dégoût nauséeux m’inondait brutalement. Zec me jeta un regard terrifié : la servitude fraternelle ne s’arrêtait pas au partage de missives élémentaires, nous percevions nos chimères voluptueuses ou désobligeantes réciproques sans échange verbal. J’évitais alors le sien, subjugué par cet homme qui, semble-t-il, connaissait nos géniteurs.

    « C’est fou ce que tu ressembles à maman, finalement. Prête à vendre sa propre famille au nom des siens. J’ai honte pour tes enfants. Commença-t-il dans un léger ricanement pourtant transcendant. La rumeur dit qu’il y a un sorcier parmi eux, et que l’autre semble prédisposé à exterminer cette race. Il me tarde de rencontrer ce dernier : un prodige riche d’un enseignement austère dont il n’aura pas, ou peu, besoin. Sade n’a besoin d’aucune discrimination de race pour s’en prendre à quiconque, Cioran articula-t-elle avec dégoût. Voilà qui est plus intéressant, soufflat ledit Cioran. Tu ne lui apprendras rien, d’ici quelques années, il aura plus à t’apprendre que tu ne l’imagines : cet enfant finira sur un lit d’hôpital entouré de medecins qui étudieront sa folie impérissable ajouta mon géniteur avec dégoût. Ferme la, Nikolas. Je n’te permets pas d’insulter ce génie, ni même notre famille. Bien, assez perdu de temps : les enfants, montrez-vous. »



Zec nous arrachait alors brusquement de ce spectacle pesante : il régurgita, dans un sourd écho, l’exécration étouffante des circonstances actuelles. Leurs regards se tournèrent alors vers cet autel qui ne tarderait à nous corriger en d’imparfaites offrandes. Cioran fit signe aux deux hommes encore restés silencieux, et tous deux s’exécutèrent. Leurs silhouettes immensément grandes se dirigèrent dans notre direction, lorsque l’un deux tenta de tirer Zec par le col, je persiflais une menace animale. Ils rirent mais dégagèrent leurs bras, incertains de ce qui les attendaient.

    « Idiots, ce ne sont que des enfants. »


Lorsque Cioran s’approcha, nous reculâmes jusqu’à se heurter violemment à l’immense plaque de marbre glaciale. Sa main se saisit une nouvelle fois d’Ezé et je me jetais alors presque instinctivement sur une chair hostile. Cioran laissa échapper un cri strident tandis que de son autre main il me frappa crûment : je trébuchais, un bras glissant dans ce liquide puant et rugueux avant de me laisser tirer à mon tour vers l’extérieur. « Lâchez-le ! » vociférai-je d’une fois à peine audible. Cioran m’humiliait alors pour la seconde fois, et je sentis à cet instant, cet altérité en moi manifester ce désir suave de rétorsion. Il nourrissait ma véritable nature, libérant cette bête qui, patiemment, avait su attendre que je lui accorde une once d’ostension.

    « Du calme Sade, ton tour viendra, me confia-t-il dans un chuchotement que seul le principal concerné était à même d’entendre. Tuez ces trois là, et commencez par les parents. »


Ils s’exécutèrent : sous nos yeux, sans scrupule ni hésitation, nous même indifférents au meurtre de géniteurs que jamais nous n’avions daigné vouloir connaître. Leur torture fut longue, presque interminable, pendant laquelle je tentais de trouver un moyen de repousser l’heure de mort de mon frère. Cioran avait été clair : Zec, sorcier lui aussi, devait mourir. Nous avions tous deux compris qu’il était un chasseur. Je haïssais les sorciers, moi aussi. C’était presque instinctif, sans que je ne puisse l’expliquer. A cet instant, je comprenais plus clairement les motivations qui m’avaient toujours poussé à extirper et dévorer ces spécimens, tous à l’exception de mon frère. Cioran était assis sur un banc de l’ancienne Eglise aujourd’hui appartenant à nos géniteurs qui l’exploitait pour leurs rites vaseux, s’abreuvant du décor retapissé d’un rouge acide, sur un air fanfare et silencieux que lui seul était à même de percevoir : son corps se mouvait à mesure que les cris stridents de nos parents animaient le cérémonial.
« Bien, finissons-en avec le dernier sorcier de la lignée pisseuse des Volpe. ». Bien sûr, nous ne comprenions pas un traitre sens des mots qu’il venait d’introduire à son orchestre. Je pris conscience qu’il était temps pour lui de m’arracher l’être qui, sans sa présence, me rendrait plus irrationnel encore. Je cherchais alors à m’accaparer de l’attention de Zec perdu dans des sanglots insonores. Son corps était en position fœtale, autiste, se balançant uniformément d’avent en arrière, ravivant ainsi la colère de Cioran, qui –je ne le compris que très tard – le plongeait dans le souvenir de son propre père et de son ataraxie imperturbable. Il se leva alors brusquement et se saisit du petit corps du cadet. Je cherchais alors à me débattre, mais je deux bras vinrent écraser mon thorax, indifférents à mes gémissements acérés. Cioran nous fixa alors durement : son regard allait de son captif à celui de ses pairs. Zec et moi ne nous ressemblions pas le moins du monde, nos discordantes apparences face à notre lien génétique trahissait quiconque ignorait nos liens familiaux. C’était devenu, pour nous, une arme redoutablement précieuse et doublement perverse. Il s’approcha alors lentement de nous, soutenant d’un bras le corps de Zec qu’il trainait derrière lui : à mesure que ses pas soulignaient l’irrespectable négligence qu’il affligeait à mon frère, ma répulsion gorgée d’animosité fluctuait. Il s’arrêta alors un instant, je ne pouvais percevoir que le bas de sa silhouette, et se joignit à notre hauteur.

    « Pourquoi tiens-tu autant à ce que j’épargne ce sorcier, Sade ? me demanda-t-il dans un calme qui suscitait méfiance et vigilance. C’est mon frère. Il rit, à nouveau, de ce timbre hypocrite et irrité. Ne lui faites pas de mal, il n’est pas comme les autres. Il cessa alors tout comportement inepte et me tira à lui : Ah oui ? Et qu’a-t-il de si particulier ? J’hésitais un instant durant lequel il écrasa le visage de Zec sur ce sol algide, de sa semelle effarante, articulant un décompte déroutant : ATTENDEZ ! Il m’aide dans mes explorations. Je… J’ai cette habitude inconstante à disséquer l’anatomie des êtres vivants, tous confondus. Les… les sorciers ne sont pas les seuls êtres à attirer et attiser mes attentes. J’aime la chair, la comprendre et surtout… la malmener. ».


C’était la première fois. Zec et moi n’avions jamais confié pareil rite. Je me surpris à ne percevoir aucune rumeur, aucun repentir dans mes propos. Plus j’avançais dans l’histoire de nos coutumes, plus le désir de les mettre en application m’étouffait. L’illusion de schèmes de représentations des souvenirs passés en la compagnie de cadavres éméchés satisfaisaient alors mes désirs vertueux.

    « J’aime. Maintenant, donne moi une seule bonne raison d’épargner ton frère ?. J’hésitais, encore, Zec sous l’emprise du poids contrôlé de mon interlocuteur prêt à le démanteler à tout moment. Prenez moi avec vous. Il esquissa alors un sourire satisfait. J’accepte de me plier à vos règles, vos exigences. Il retira alors son emprise du cadet, se retourna et se mit à applaudir contre toute attente : la cadence effrénée des battements de mon cœur étouffait mes capacités à penser, tandis qu’elle meurtrissait ma poitrine, vorace et carnassière. Embarquez Sade dans la voiture, et ne lui laissez pas le temps de parler à son frère. Il se retourna et me fixa longuement : je le défiais alors sans ciller, à la recherche d’une explication manifeste. Félicitations petit, tu viens de sauver la vie de ton frère. J’espère que malgré le traumatisme des événements récents, il saura en tenir compte. »


Je l’implorais de me laisser parler à Zec une dernière fois, m’assurer qu’il se portait bien mais Cioran rejeta ma requête en me soumettant, pour la troisième fois, à sa violence qui, cette fois, me fit perdre connaissance.

CHAPITRE II – EVANGILE CANONIQUE SELON LES FRERES INDECENTS

« la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Is9-256db37


« Huit années partagées aux côté de Cioran s’écoulent aujourd’hui, frérot. Personne ne sait pour nos lettres, mais notre oncle commence à émettre quelques doutes. Il m’a surpris errant autour de ton école, il y a quelques jours. Il a peur, comme je te l’ai expliqué dans une précédente lettre : il a toujours su que j’étais capable de bien pire que lui mais ne s’y est jamais véritablement préparé. Il me fait désormais suivre à l’intérieur même du château. Il ne dort plus et redoute le moment où il se trouvera seul face au monstre qu’il a revigoré. Je ne te cache pas que j’orchestre sa mort de toutes les affectations possibles mais je me heurte à une hésitation hystérique et enragée. Pour l’heure, laisse moi te parler de l’évolution de notre objet d’observation : je veux bien sûr parler de Nawel.
Notre captive se porte bien. Elle se montre plus réceptive que toutes les autres. Son corps exauce mes fantasmes jusqu’ici restés insatiables. Cette sorcière est orpheline, sans famille, et l’expectation d’un syndrome stockholmien semble naître en martyre face aux sévices charnels et barbares que je lui ingère précieusement. Je vide en elle une luxure méphitique qu’elle semble supporter à travers un silence éloquent, dont je perçois cependant l’abominable souffrance et dégoût friand pour mes déraisons obsessionnelles.
Sous la géhenne délétère de mes caresses nébuleuses et perverses, elle me confia quelques noms de ses pairs, dont la plupart réside à Salem et fuit notre réputation. Elles craignent nos chemins faramineux et court après des trahisons susceptibles de lénifier notre soif déchainée. Il ne me tarde de mettre la main sur ces femelles.
Notre fief attire les plus déchus des chasseurs prêts à servir notre trafic clandestin : certaines sorcières s’agitent, perdant pied, déstabilisées, comme on l’avait prédit et souhaité. Tout se passe comme dans un jeu d’enfant, mon frère, et nous sommes les seuls spectateurs de notre merveille, prodige ébauche à l’égard de ces corps brulants atterrés et tremblants, acteurs de nos respectifs fantasmes infantiles et pervers.

L’évocation mentale des courbes voluptueuses d’un galbe inégalé m’appelle, Nawel et ses phantasmes inconscients exigent et me réclament un amas de perversités défectueuses,

Bien à toi, mon frère,
Il me tarde de te retrouver,

S.J. »

CHAPITRE III – L’APOCALYPSE SELON SADE JOYCE

« la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Vd-109-04


LA GENESE – Ezéchiel et moi-même étions nés pour avilir le schéma parfait d’une généalogie arborescente irréprochable. Nous étions deux jumeaux indésirables et éduqués dans l’instable absence de géniteurs indifférents –pour notre plus grande jouissance. Avec nous découlait la plus folle des perversités génétiquement redistribuée : patiemment, elle avait pris racine dans une vie instinctuelle, prête à se laisser exploiter par chacun de nous, l’ainé plus précoce et vorace que le cadet. Ce ne fut qu’en la perte totale de repères parentaux et de la séparation sauvage imposée aux jumeaux que naquit le plus exécrable des monstres prometteurs.
Ainsi, notre folie infantile et morbide prit racine l’année de nos douze ans. Ezéchiel rejoignit le monde social d’un cadre scolaire prestigieux le conditionnant aux attentes humaines familières et où il exploiterait ce génie que l’on avait en commun d’une toute autre façon. J’étais, quant à moi, soumis à un rythme pédant plus stricte, imposé par Cioran, notre oncle. En cherchant à épargner la vie de mon frère, je m’étais soumis aux exigences d’un chasseur, qui avait cherché à faire de moi, l’être le plus indécent de sa communauté. Contre toute attente, je m’étais laissé envahir par ce monstre inhumain, déraisonné, avide d’intentions aversives et immorales, non plus limité aux sorciers et sorcières mais à échelle macro individuelle. Je résidais dans un manoir retiré du centre même de la ville, enfermé dans la demeure principale de ses ancêtres, où notre génie commun arborait, un sadisme antisocial que personne ne pouvait, d’ici, contrôler. Le personnel était asservi par mes exigences et mon imagination perverties, que Cioran ne se lassait d’observer, maintenant sauvagement ce que Zec saurait percevoir comme velléité décente aux ferventes machinations.
A l’heure actuelle, nous n’appartenons à aucun rythme intégratif et social : aucun de ces Covens de la ville n’est à même de proposer une hospitalité infectée d’une perversité breneuse. C’est naturellement que de notre propre trafic se forge un Covens propre aux Joyce, une menace scabreuse pour nos proies factices : entendez nos sorcières captivantes s’agitant indomptables et excitantes.


« la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Vd-109-01


Elle pleurait.

    « Rhabille-toi. »


Elle ne bougea pas. Je me levais. Elle frémit. Le vent guidait ma cadence, violente et sauvage, instable et amusé. Mes pas raisonnaient en ces lieux sauvages et obscurs. Lorsque j’arrivais à hauteur de ce corps nu, le regard de cette jeune fille ne me fixait plus. Elle saignait. Comme beaucoup d’autres avant elle. Je restais insensible à ce charme explosif et innocent : les larmes d’une jeune fille devenu femme, quel honneur. Mes doigts crassèrent doucement son visage en sueur. Ses spasmes me firent sourire : elle tremblait, et me transmettait ses plus intimes chimères, satisfaisant un désir dont je me nourrissais sans une once d’impétuosité. Je n’allais pas reprendre la conquête de ce corps désormais suffisamment souillé : je me rhabillais en ne jamais détourner le regard pervers et lest que je posais sur elle. Elle détournait alors le sien, vide et implorant mon absolution. J’admirais mon oncle pour ses talents immoraux à ériger les convictions des meures sociales dont j’avais hérité et révisé en l’associant au sadisme inhumain propre aux Joyce. Quant à elle, son corps ne représentait plus rien pour moi. La présupposée jeune sorcière, vierge qui plus est, avait revêtis un manteau désormais moins chaste et plus âcre. Sa peau était recouverte d’un rouge sombre, écaillé et tantôt ravivé par ce doigt scabreux ensanglanté je glissais préalablement dans la fente de ses jambes suintant la douleur et le plaisir. L’odeur de son sang jeune et vermeil m’arrachait un frémissement presque jouissif, tandis qu’à mesure que ces palpitations s’atténuaient, je réchauffais son corps de ce liquide rouge vif sur son prédécesseur assaini. Elle se laissait faire, comme je le lui avais ordonner quelques jours auparavant. La torture avait été longue, mais son efficacité me fit perdre toute notion de temps.

    « Mh, pardonne ma bestialité. Mais ma déception était telle quand j’ai compris que tu m’avais menti et que ta chasteté n’était qu’un leurre que je me devais de te faire payer pour ça.»


Je parlais lentement –distinctement, assez pour qu’elle puisse accepter chacun de mes mots comme une violation maupiteuse et névrotique de sa conscience. Elle était en état de choc, semble-t-il : n’était-ce pas là un maigre aspect de la finalité recherché pour un prédateur prédisposé à exterminer leur race ? Je ne faisais que la noyer plus encore dans sa torture profitable. J’esquissais un sourire, toujours plus large et fou, fier de ce chef-d’œuvre figé face à moi, sanglotant de temps à autre, sans pouvoir décrocher ne serait-ce qu’un seul mot. Il me manquait le cadet pour parfaire cette quête morbide ; celui sans qui je ne pouvais ressortir entièrement satisfait de cette partie de chasse bientôt achevée. Je me concentrais plus encore sur la douleur de ma proie pour oublier la mienne, et repris alors :

    « Sais-tu ce qui inspire ces innombrables traques ? chuchotai-je de cet air faussement calme, m’abaissant à hauteur égale pour fixer ce visage ecchymosé, mon regard blafard empli d’un sérieux déstabilisant. Puis je repris, sauvagement, comme habité par ces deux habituelles et souveraines individualités narcissiques, caressant à nouveau son triste visage : Je suis né avec un flair qui me prédisposait à appréhender la venue d’une vierge selon mon oncle. Je marquais une pause, me relevant lentement, glissant mes mains dans les poches d’un manteau que je revêtis à mesure que mon discours unilatéral dévorait l’atmosphère fétide des lieux. Il a toujours admiré ma folie et j’ai toujours perçu à quel point il m’enviait pour ça. Je sortis alors brutalement mes mains, à nouveau, inconscient de l’éloquente gestuelle qui effrayait ma proie. Je me rapprochais alors nerveusement de son corps effaré. C’est là que se dresse ce fossé qui lui est insupportable et abjecte entre lui et moi : il a été conditionné à être ce qu’il est aujourd’hui. C’est ce qui me rend plus dangereux et imprévisible que lui : je suis né enragé et paraphrénique. Je me penchais brutalement vers elle, quelque peu irrité, instable et toujours aussi imprévisible : nos visages étaient proches. Son souffle se tarissait : Et devine quoi ? J’aime ce statut associable et dépourvu de scrupule ou encore d’affect. La solitude a épuisé dans mes croyances aliénés toute once de sentiment. Sans raison apparente, dans un parfait clivage –selon elle – entre ce discours et ma soudaine attitude, je me mis à rire sans retenue. Ce n’était pas là une marque de mon éloquence triomphante, et elle le savait : c’est ce qui rendait l’actuelle situation plus dangereuse et menaçante encore ; plus dépravée et perverse. »


Puis, entrainé par cette schizose familière je m’arrêtais brutalement, me laissant envahir par une aigreur injustifiée. Je perdais mon temps. Je tentais de justifier mon acte impardonnable sans pour autant le regretter. J’avais besoin de parler et d’élever l’absolution de mon empire, ma consécration, ma dominance face à cette femelle. Le rituel n’était pas achevé pour autant : elle me l’implorait depuis des heures pourtant. La question était, qu’allais-je faire de son corps ? Le choix était large et je me lassais des trophées charnels.
Je la fixais à nouveau, elle ne bougeait pas. J’étais las et désorienté par cette traque arythmique. J’avais perdu tout repère circadien, toute trace nycthémérale. Mes doigts glissèrent sur sa peau humide et tiède. Mes gestes étaient lents, s’arrêtant alors à hauteur de son visage que je relevais. Elle se laissait faire, bercée et silencieuse. L’objet de mes nuits interminables me décevait à mesure qu’elle obéissait à mes caprices d’asthénie. Ses yeux me fixaient, vidés : elle avait, elle aussi, succombé au charme du premier Joyce. D’abord ce physique irréprochable, puis ce charisme fascinant et enfin un discours à la hauteur de notre réputation. Et pourtant, à chaque fois le défi était différent, la finalité unique et le drame alléchant.
Elle avait été de celle qui aurait tué pour m’avoir près d’elle « […] jusqu’à ce que la mort nous sépare, n’est-ce pas Sade ? » avait-elle prononcé il y a de ça quelques jours.
    « Ainsi soit-il. »
je me relevais et quittais cette forêt violée et salie, délaissant ce corps morbide et inerte, que mes perpétuelles illusions m’avaient offert plus vivant et torturé que ce que la réalité aurait pu m’offrir. La quête scatophile était révolue. Mes hallucinations sustentaient perpétuelles et fidèles. La mémoire de cette sorcière se mariait aux autres : ce pouvoir cathartique atteignait son apogée à mesure que je me vidais en elle, encore et encore, vivante ou morte, qu’importait, la finalité de mes désirs n’était plus de l’ordre de la vie, mais de la jouissance que j’avais à y gagner.


« la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Vd-109-02


Le cri sauvage et presque instinctif éveilla une familiarité lassée chez moi. Leur réaction était immuable, aucune singularité n’émanait de leur attitude face à mes chef-œuvres. Ce qui valu pareil comportement gisait au sol : le corps de Cioran gisait à quelques mètres de là, soumis à une torture plus dangereuse encore que la mort qu’il espérait bientôt aspirer. Du moins, ce qu’il restait de son corps. Inutile serait de vous relater mon expédition aventureuse de l’anatomie de notre cher et bientôt défunt demi-oncle. Je vous laisserai le plaisir de découvrir l’œuvre inachevée de mes dissections anthropotomiques lors de mes prochains vices dévorant l’esprit de mon cadet. Mais laissons ce détail pour plus tard, peut être sera-t-il plus évident une fois ce récit précisé.

    « Dis moi, Cioran, qu’est-ce que ça fait de se retrouver dans cette funeste situation, semblable à tes lamentables rites restés inchangés ? demandai-je dans une sérénité maquillée, caressant son crane défectueux, gisant au sol, immobilisé par la semelle pisseuse que j’écrasais à mesure que mon discours attisait mon impatience. Attends… ATTENDS ! Je t’ai élevé comme un fils, je t’ai nourrit de toutes ces femelles, j’ai– Tu m’as été d’une utilité rutilante, c’est vrai répondis-je dans une apathie foudroyante. Mais tu n’as retenu dans cette éducation que le résultat de tes machinations sans tenir compte de la nature innéiste de ma personne , articulai-je lentement. Je peux encore t’être utile! me souffla-t-il difficilement. Le problème vois-tu, c’est que le désir insatiable de vengeance face à ton attitude irrévérente à l’égard de mon frère, la séparation déroutante que tu nous as imposée et l’excitation face à nos proches retrouvailles m’obligent à t’éliminer, mon oncle. »


Lorsque j’émis tout le poids de ma rancœur dans la torpeur égrugée et écrasante de mon corps, je me délectais de fixer ce spectacle sanglant : son crâne céda sous la pression de mes intentions qui avait été, il y a huit ans de cela, les siennes sur mon frère, et une tempête aversive de sang pesta sur les visages effrayés de sorcières captives assistant à ce fulminant carnage. Elles émirent un cri déchainé, aigu et berçant, dans une parfaite harmonie : je levais ainsi les bras pour simuler la folie de ma symphonie animale, cette de l’alliance nouvelle et éternelle avec ce monstre effréné et macabre qui sommeillait en nos deux esprits.
    « Je suis l'alpha et l'oméga, le commencement et la fin. »

« la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Jjo3rd
FIN


Behind The Screen

« la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  00207g90PRÉNOM/PSEUDO & ÂGE : Sade, 20 y.o
FRÉQUENCE DE CONNEXION (/7JOURS) :
Présence HJ ■■■■■■■
Présence DJ ■■□□□□□
COMMENT AS-TU CONNU TSG ? Par le frangin (Ezechiel Joyce)
TON AVIS SUR LE FORUM : Design attractif, il sent le neuf. Le contexte diffère de ce qu'on a l'habitude de voir, ça change : ça tente. Du reste, j'attends de voir mrgreen
UNE INCANTATION POUR LA ROUTE ?



Dernière édition par Sade Joyce le Sam 26 Nov 2011 - 23:10, édité 74 fois
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Maëve C. Foster
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeJeu 24 Nov 2011 - 23:48

Bienvenue « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  2618047288

Sade... Je comprends mieux les diverses citations « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  1694777847
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 6:08

Thanks dear mrgreen
Les citations ne sont qu'un vulgaire résumé laconique du contenu qui vous attend « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  2518321774
Le forum est déconseillé aux moins de 16; disons que c'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  337664734
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Jimy K. Lewiston
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 10:57

Euhm... Bienvenue je suppose.
Quoique je devrais ptête pas souhaiter la bienvenue à quelqu'un qui menace... Euh... Enfin moi je m'en fous en fait!
« la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  337664734

*sort au lieu de raconter des conneries*
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 11:03

"Qui menace"? Je n'vois pas de quoi tu parles... nan vraiment « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  337664734
Thanks mate, and keep talking shit, love it mrgreen
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Jimy K. Lewiston
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 11:07

So you gonna love me!
Et d'abord, tant que tu viens pas t'incruster vers certaines personnes *garde Lara sous son coude* on pourrait être copains *sbaff*
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 11:45

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche, même si ton perso à l'air de faire peur ! *se cache les yeux* J'aurais préféré qu'on l'ait dans le camp des sorciers celui-là, j'sais pas pourquoi, j'le sens moyen XD
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Blake McLocklain
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 12:35




Sade <3

Mouhahahah « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  3900855282
Je sais pas pourquoi mais tu me donnes des idées XD
Bon courage , bienvenue parmi nous et enjoy ! =)
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 12:57

Mwahahahah sûr frérot que tu donnes des idées ; annonce leur que j'ai la primeur de ton galbe...
« la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  2518321774
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 13:02

Jim' : got it, mate, Lara's juste moved to the first haunting conquests mrgreen Zbaf

Sutton : mwahah, il me tarde de poster intégralement ma fiche, histoire que vous ayez un avant-goût du type de chasseur que sera Sade (et par la même occasion, les frères Joyce) Rolling Eyes

Blake : Une adepte du Marquis?
J'dois avouer que Fox nourrit elle aussi quelques idées fantasmatiques « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  2518321774
J'attends, de toute évidence, ton avis quand la fiche sera terminée (ce soir, ou demain matin), histoire qu'elle conforte l'évidente inspiration qu'elle te procurera zbaf

EDIT : 'videmment, broth. Pour l'heure, touche-toi, faut qu'on se mette en route mrgreen

See ya tonight TSG ,)



Dernière édition par Sade Joyce le Sam 26 Nov 2011 - 1:01, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 13:33

Oh dommage pour toutes les lycéennes non majeures « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  1694777847

N'empêche qu'un chasseur aussi horrible, c'est de l'ordre du fantasme « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  2952278925
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 16:49

On parle de moiiiiiiii ? /sbaf/
Mouahah, que de belles citations, ça laisse rêveuse tout ça ... En fait je pense que Lara est un peu trop jeune, par contre je vais planquer ma pauvre Meredith xD

Bienvenue bienvenue, hâte de voir ça que ça va donner ^^
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 18:01

Bienvenuuuuuuuuuuuuuuue ! *.*

QUI a dévoilé mon secret ?! QUI a parlé de mon fantasme ultime Ian Somerhalder/Ed Westwick ?! (Comment ça je suis très originale avec mon penchant pour les mechants... ?)
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Mina Dilaurentis
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 18:27

Welcome ^^
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 19:24

Sade Joyce a écrit:
e chasseur que sera Sade (et par la même occasion, les frères Joyce) Rolling Eyes

Blake : Une adepte du Marquis?
J'dois avouer que Fox nourrit elle aussi quelques idées fantasmatiques « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  2518321774
J'attends, de toute évidence, ton avis quand la fiche sera terminée (ce soir), histoire qu'elle conforte l'évidente inspiration qu'elle te procurera zbaf




Oh que oui ! J'ai lu le marquis de sade, j'aime beaucoup ce grand malade <3 et le film Quills aussi *-*

Mouhahahaha ! Oui on verra ça !
Je compte sur toi pour être à la hauteur de mes espérances « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  3900855282
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 20:17

Elisabeth Howe a écrit:
Bienvenuuuuuuuuuuuuuuue ! *.*

QUI a dévoilé mon secret ?! QUI a parlé de mon fantasme ultime Ian Somerhalder/Ed Westwick ?! (Comment ça je suis très originale avec mon penchant pour les mechants... ?)

On est bien d'accord sur ce sujet xD
Bienvenue vilain chasseur (que j'ai hâte de lire ta fiche !) Bon courage Very Happy
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeVen 25 Nov 2011 - 20:58

Sutton Blackburn a écrit:
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche, même si ton perso à l'air de faire peur !

+100. Je suis resté choqué devant le nom de ta fiche et ait encore du mal à m'en remettre xD Du coup je suis plus curieuse de lire ta fiche et de souhaite bien évidemment la bienvenue « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  3532638152
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeSam 26 Nov 2011 - 3:55

Bienvenue parmi nous!
Que de promesses, j'attends de lire la suite pour faire ma groupie mrgreen
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeSam 26 Nov 2011 - 22:56

Maëve; fantasme virtuel qui plus est Rolling Eyes Tu fais partie de ces lycéennes non majeures? « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  337664734

Lara; thanks, dear : je viens tout juste de terminer ma fiche. Hope you'll enjoy mrgreen

Elisabeth; mwahaha, j'ose espérer que le personnage, sans tenir compte de Ian, évoquera une adulation nouvelle et qu'il ne ravivera pas des fantasmes archétypes Rolling Eyes

Merci, Mina ,)

Blake; en espérant avoir dépassé tes attentes dévoyées, j'te souhaite une bonne lecture, dear mrgreen

Casey; thanks, ma fiche étant terminée, il me tarde de commencer à RPiser « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  3068330700

Kennedy; remise de tes émotions, dear? « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  2333848537 Du reste, merci ,)

Luz; Fiche terminée avec un léger retard Zbaf mrgreen
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeSam 26 Nov 2011 - 23:08

OMG. J'ai adoré. Le style est super agréable, bien soutenu. Tu me rappelles quelqu'un qui écrivait dans ce style, ça fait plaisir. En tous cas, j'adore et je valide sans problèmes ! Bienvenue parmi nous, chasseur !
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeSam 26 Nov 2011 - 23:16

Hey Sutton,
Merci de fomenter une journée d'écriture (et réécriture) ou encore d'avoir pris le temps de me lire ,)
Ravi que ça t'ai plu What a Face

Simple curiosité, mon écriture te rappelait quel personnage? mrgreen

'Fait, j'ai eu beau lire et relire le règlement, [censuré by Sun-Lüz au cas où un nouveau passerait par là « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  2474380249 ] « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  337664734
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeSam 26 Nov 2011 - 23:21

Oui, tout à fait normal, [censuré by Sun again, z'êtes bavards mes amours! tongue ], vois-tu, tu n'es pas le seul à être sadique ! XDD. Je ne pense pas que tu connaisses, mais tu me rappelles une RPiste nommée Elo(die) qui jouait notamment un personnage sur un fow HP qui s’appelait Tyler Carlson ! ^^ Le personnage et le style d'écriture m'y ont beaucoup fait pensé, et c'est un compliment, car j'ai toujours considéré son style comme ultra poétique, littéraire et romanesque ! Que de compliments, je vais arrêter après tu vas avoir les chevilles gonflées XD. En tous cas, je veux un lien et je veux un RP ! -sort- Welcome again !
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeSam 26 Nov 2011 - 23:25

Je vois Rolling Eyes
En effet, je ne vois pas du tout qui est Tyler carlson mais le simple fait d'évoquer ce membre suscite toujours plus de compliments donc... Zbaf « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  1694777847

Il était assez évident et inutile de préciser qu'un lien s'impose dear mrgreen
On poursuivra par MP pour ce qui sera du sujet ,)
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Keenan Dickenson
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeDim 27 Nov 2011 - 2:20

J'en suis à peine à la moitié et c'est déjà définitif : jesuisfaaaan « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  3754190863 « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  2176505670 « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  2628501261 « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  2228576334 « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  3507164070 « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  4167106108 Et je plussoie Sutton, c'est tellement bien écrit que ça sonne poétique, ça donne envie d'être une victime « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  3072420091 *retourne à sa lecture*
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitimeDim 27 Nov 2011 - 2:26

Mwahahah mais je t'en prie : éternise toi à jeter ton dévolu sur Sade, il n'en sera que plus satisfait et vaniteux Zbaf mrgreen
Plus sérieusement, ton enthousiasme est risible « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  1694777847



N.B : Nan Sutton, j'ai encore de la marge avant que mes chevilles n'enflent sérieusement Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.    « la femme a besoin d'être violée dans des positions rares » - Sade J.  Icon_minitime

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